SIA 2024 : Médaille de bronze pour One de la Diane de Belrem
Actualité publiée le 27/02/2024
Après sa victoire au Paris Dog Show le mois dernier en emportant le titre de meilleur chien de cette exposition internationale, One était encore sur le podium, dimanche dernier, et pas n’importe lequel, celui du concours général du Salon International de l’Agriculture !
Pour tout éleveur d’animaux ou producteur de produits du terroir, participer à ce concours prestigieux est déjà une reconnaissance puisqu’il se fait sur une sélection. En l’occurrence pour l’espèce canine, être lauréat de la Nationale d’élevage de la race ! Monter sur le podium et obtenir une médaille est ensuite la récompense suprême !
Eh bien, tout cela One de la Diane de Belrem l’a fait dimanche ! Simplement, calmement, sans stress, comme si c’était normal ! Quelle belle présentation ! Il était magnifique d’assurance avec ses foulées aériennes, une ligne de dos impeccable, un port de tête impérial et cette facilité en statique comme en mouvement, ce détachement face au bruit à la foule, aux lumières, … Chaque foulée soulignait ses lignes parfaites, sa belle musculature, car sur un poil ras tout se voit immédiatement ! C’était comme si le ring lui appartenait tout entier, juste pour mettre en valeur sa race ! Quel beau représentant, et quelle belle prestation dans ce registre de l'élégance canine à la française !
Tout était possible dans ce ring des mâles ayant gagné le CACS leur dernière nationale d’élevage, mais tout était également difficile tant le niveau et la qualité étaient réunis ! Finalement, One monte sur la troisième marche du podium et remporte la médaille de bronze derrière le pointer et le Griffon Korthals, qui gagne cette catégorie.
Beaucoup d’émotion autour du ring dans le petit groupe des supporters du braque Saint Germain. Toutes nos félicitations à Alan, qui présente One de façon très professionnelle, et à Emeline, son épouse, l’heureuse propriétaire de ce très joli chien qui fait honneur à notre petit élevage mais aussi à la race. Merci à eux de m’avoir accordé leur confiance, tout comme Colette, l’avait fait précédemment pour Issan de la Diane de Belrem, le père de One et bien d’autres, trop nombreux pour pouvoir les citer tous ici sans prendre le risque d’en oublier ; tous contribuent activement, parfois aussi dans l’ombre, au maintien de notre capital génétique. Votre soutien depuis le début, envers et contre tout, y compris ceux qui n’ont jamais produit un seul Saint Germain, mais critiquent comme s’il savaient, est aussi un élément déterminant dans la réussite du renouveau de la race !
Tout comme son père, et d’autres sujets nés depuis quelques années, One est un raceur, c’est-à-dire qu’il signe sa descendance à travers des caractéristiques morphologiques précises, alors n’en déplaise à nos détracteurs, il va falloir qu’ils s'habituent à applaudir de beaux chiens et comme sur le terrain ils ne sont pas manchots, voilà des générations d’excellents Saint Germain qui se profilent…
La conclusion, nous la laissons à Jules Claretie, romancier, historien et fin observateur de la vie parisienne à son époque ; mais tout compte fait à ce niveau rien n'a changé dans ce registre et sa pensée reste d'actualité : « Tout homme qui dirige, qui fait quelque chose, a contre lui ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui font précisément le contraire et surtout la grande armée des gens d'autant plus sévères qu'ils ne font rien du tout ».
retour
Pour tout éleveur d’animaux ou producteur de produits du terroir, participer à ce concours prestigieux est déjà une reconnaissance puisqu’il se fait sur une sélection. En l’occurrence pour l’espèce canine, être lauréat de la Nationale d’élevage de la race ! Monter sur le podium et obtenir une médaille est ensuite la récompense suprême !
Eh bien, tout cela One de la Diane de Belrem l’a fait dimanche ! Simplement, calmement, sans stress, comme si c’était normal ! Quelle belle présentation ! Il était magnifique d’assurance avec ses foulées aériennes, une ligne de dos impeccable, un port de tête impérial et cette facilité en statique comme en mouvement, ce détachement face au bruit à la foule, aux lumières, … Chaque foulée soulignait ses lignes parfaites, sa belle musculature, car sur un poil ras tout se voit immédiatement ! C’était comme si le ring lui appartenait tout entier, juste pour mettre en valeur sa race ! Quel beau représentant, et quelle belle prestation dans ce registre de l'élégance canine à la française !
Tout était possible dans ce ring des mâles ayant gagné le CACS leur dernière nationale d’élevage, mais tout était également difficile tant le niveau et la qualité étaient réunis ! Finalement, One monte sur la troisième marche du podium et remporte la médaille de bronze derrière le pointer et le Griffon Korthals, qui gagne cette catégorie.
Beaucoup d’émotion autour du ring dans le petit groupe des supporters du braque Saint Germain. Toutes nos félicitations à Alan, qui présente One de façon très professionnelle, et à Emeline, son épouse, l’heureuse propriétaire de ce très joli chien qui fait honneur à notre petit élevage mais aussi à la race. Merci à eux de m’avoir accordé leur confiance, tout comme Colette, l’avait fait précédemment pour Issan de la Diane de Belrem, le père de One et bien d’autres, trop nombreux pour pouvoir les citer tous ici sans prendre le risque d’en oublier ; tous contribuent activement, parfois aussi dans l’ombre, au maintien de notre capital génétique. Votre soutien depuis le début, envers et contre tout, y compris ceux qui n’ont jamais produit un seul Saint Germain, mais critiquent comme s’il savaient, est aussi un élément déterminant dans la réussite du renouveau de la race !
Tout comme son père, et d’autres sujets nés depuis quelques années, One est un raceur, c’est-à-dire qu’il signe sa descendance à travers des caractéristiques morphologiques précises, alors n’en déplaise à nos détracteurs, il va falloir qu’ils s'habituent à applaudir de beaux chiens et comme sur le terrain ils ne sont pas manchots, voilà des générations d’excellents Saint Germain qui se profilent…
La conclusion, nous la laissons à Jules Claretie, romancier, historien et fin observateur de la vie parisienne à son époque ; mais tout compte fait à ce niveau rien n'a changé dans ce registre et sa pensée reste d'actualité : « Tout homme qui dirige, qui fait quelque chose, a contre lui ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui font précisément le contraire et surtout la grande armée des gens d'autant plus sévères qu'ils ne font rien du tout ».